État

Jaipur la capitale du Rajasthan

Arrivés en milieu d’après midi en train et pris d’assaut à la sortie de la gare par une foule de rabatteurs, on est sauvés par le « pick-up » de notre hôtel qui nous attendait. Et nous voilà arrivés dans cette grande ville de 200 km², moins touristique mais tout aussi bruyante que toutes les autres villes que l’on a pu visiter.

Assez fatigués nous avons attendu le lendemain pour entreprendre les visites, en commençant par le Monkey temple (sur conseil de plusieurs personnes) perché au dessus de la ville. On y a trouver effectivement un petit temple, avec pleins de singes, mais rien d’exceptionnel, sauf peut être la vue qu’il nous offrait… Et c’est plus tard que nous avons compris que nous avions raté un petit chemin qui menait à un énorme temple qui en valait la peine !! La visite sera pour une prochaine fois !

Pour se rendre au temple, on a pris un touk-touk électrique (le premier que l’on voyait en Inde). Sur la route on a traversé une « rivière » dans un état des plus lamentables et comme on n’en avait encore jamais vue. Il faut savoir que la plupart des Indiens (si ce n’est pas tous les Indiens) ont pris l’habitude depuis toujours à tout jeter par terre (sac plastique, emballage, fruits pourris, objets cassés…), que les poubelles n’existent presque pas, et donc forcément les rues sont remplies d’ordures !! Un indien nous à expliquer que beaucoup de personnes n’ont pas conscience de la conséquence de la pollution, et que de toute manière, tout le monde a pris cette habitude de jeter tout par terre, ce qui n’est donc pas près de changer…

Par la suite on s’éloigne un peu du centre pour aller voir le Amber fort dans la ville d’à côté. Sur la route on a aperçu le Jal Mahal, un palace construit sur l’eau du lac Man Sagar. Étonnant !

On arrive enfin au pied de la forteresse, où nous avons le choix entre Jeep, éléphants et nos pieds (que nous avons choisi bien entendu 😉 ) pour se rendre à l’entrée du fort, qui se trouve à une centaine de mètres. Cette forteresse était un véritable labyrinthe, on se demande comment les empereurs pouvaient s’y repérer, entre les centaines de petites chambres, de couloirs et passages souterrain. On clôture la visite par un duo de charmeur de serpent sur un son de flûte accompagné d’une sorte de jumbé.

Le jour d’après, petit parcours dans la vieille ville, entourée par des remparts comportant que 8 portes (pas facile de trouver la bonne porte pour rentrer à l’hôtel !). Les façades des immeubles et les remparts sont peints en rose, couleur traditionnelle de bienvenue, ce qui a donner le nom de « ville rose » à Jaipur.

En fin de journée et après quelques échanges de mails nous allons chez Pushpender une amie de la prof d’anglais de Luc de l’année dernière (et oui on a eu la chance d’avoir des conseils de Sonia durant le voyage en Inde et on en profite pour la remercier encore une fois !!). Pushpender nous a accueilli très chaleureusement et nous a servi pleins de petites spécialités indiennes, que l’on avait pas encore gouté jusqu’à présent, tout en discutant de la culture indienne et de nos vies. Merci !

Et voilà, Jaipur visitée, c’est l’heure du rangement des sacs, libération de la chambre et nous voilà en route pour Agra, la fameuse ville du Taj Mahal.

 

(A l’heure où vous lirez ces lignes, on sera en fait déjà arrivés au Népal… On a du retard dans nos articles mais ils vont arriver !!!)

2 réflexions au sujet de « Jaipur la capitale du Rajasthan »

  1. R-JP dit :

    Les photos sont toujours aussi belles mais quelle désolation de voir toutes ces ordures. Pour les petits serpents, beurk c’est flippant…
    Super aussi de rencontrer des relations, vous découvrez d’un autre œil ce pays.
    Bientôt le Népal, peut être verrez vous Guy le collègue de Papa.
    A bientôt pour de nouvelles découvertes. Bisous

  2. mimie dit :

    Et voilà encore de belles images et de beaux commentaires ….c’est vrai que c’est vraiment triste de voir toutes les ordures et ce que ça peut entraîner …..
    gros bisous

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *